Jaco Pastorius, personnage qu'on ne présente plus dans le milieu du jazz est un des meilleurs bassiste que le monde ai connu.
Il a trimbalé sa fretless chez les Weather Report de Joe Zawinul qui en découlera les meilleurs albums de leur carrière et joué également avec autre autre Biréli Lagrene, Pat Metheny, Herbie Hancock, Al Di Meola, Michel Polnareff, la liste est longue...
C'est en 1976 que Pastorius sort son 1er album solo (la même année que sa première participation à Weather Report), et c'est là qu'il va acquérir sa célébrité tant son génie et sa virtuosité sont démontrés dans ce disque.
Un jazz fusion teinté de blues, de soul, de rythmes caribéens, de swing.
D'emblée le morceau Donna Lee (reprise de Charlie Parker), duo basse/percussions, est une sorte d'introduction pour mettre les choses en place, Jaco parcours tout le manche de sa fretless et montre en 2min30 que l'on va avoir affaire à quelque chose de grandiose.
Come on come over superbe titre soul plein d'entrain voit l'arrivée des sessions de cuivres, des voix (les seules présentes sur l'album), de la batterie et surtout des claviers emmenés par Herbie Hancock qui est présent sur la majeur partie du disque.
La continuité du disque restera dans ce partage de morceaux où la basse est maître (continuum, okokonle y trompa et le sublime portrait of tracy où les harmonies sont d'une beauté indescriptible) et le bon jazz multi facettes avec le classique kuru/speak like a child, le caribéen ocus pocus avec l'utilisation des percussions steel-drums et le swing de (used to be) a cha-cha.
Forgotten love laisse la place au piano et aux violons et conclu le disque en douceur.
Un premier album magnifiquement interprété qui restera le meilleur disque de sa carrière solo.
Jaco Pastorius reste encore aujourd'hui une influence majeure pour les bassistes de jazz (et pas seulement) mais il aura avec Weather Report influencé également nombre de formations jazz fusion (Sixun ou Ultramarine en France par exemple).
Fragile psychologiquement, il décèdera en 1987 des suites d'une bagarre, après des années d'auto-destruction.
Come on, come over
Lien :
www.jacopastorius.com
Il a trimbalé sa fretless chez les Weather Report de Joe Zawinul qui en découlera les meilleurs albums de leur carrière et joué également avec autre autre Biréli Lagrene, Pat Metheny, Herbie Hancock, Al Di Meola, Michel Polnareff, la liste est longue...
C'est en 1976 que Pastorius sort son 1er album solo (la même année que sa première participation à Weather Report), et c'est là qu'il va acquérir sa célébrité tant son génie et sa virtuosité sont démontrés dans ce disque.
Un jazz fusion teinté de blues, de soul, de rythmes caribéens, de swing.
D'emblée le morceau Donna Lee (reprise de Charlie Parker), duo basse/percussions, est une sorte d'introduction pour mettre les choses en place, Jaco parcours tout le manche de sa fretless et montre en 2min30 que l'on va avoir affaire à quelque chose de grandiose.
Come on come over superbe titre soul plein d'entrain voit l'arrivée des sessions de cuivres, des voix (les seules présentes sur l'album), de la batterie et surtout des claviers emmenés par Herbie Hancock qui est présent sur la majeur partie du disque.
La continuité du disque restera dans ce partage de morceaux où la basse est maître (continuum, okokonle y trompa et le sublime portrait of tracy où les harmonies sont d'une beauté indescriptible) et le bon jazz multi facettes avec le classique kuru/speak like a child, le caribéen ocus pocus avec l'utilisation des percussions steel-drums et le swing de (used to be) a cha-cha.
Forgotten love laisse la place au piano et aux violons et conclu le disque en douceur.
Un premier album magnifiquement interprété qui restera le meilleur disque de sa carrière solo.
Jaco Pastorius reste encore aujourd'hui une influence majeure pour les bassistes de jazz (et pas seulement) mais il aura avec Weather Report influencé également nombre de formations jazz fusion (Sixun ou Ultramarine en France par exemple).
Fragile psychologiquement, il décèdera en 1987 des suites d'une bagarre, après des années d'auto-destruction.
Come on, come over
Lien :
www.jacopastorius.com
Alors la marmat, je suis super content que tu parles de cet album de Pasto, c'est simple l'écoute de cet album (et quelques autres quand meme, lol)m'a traumatisé.
RépondreSupprimeroui je suis bassiste, d'accord, mais je pense que l'on soit bassiste ou non, c'est une necéssité d'écouter cet album si on aime la musique.
Le seul probleme c'est qu'une fois écouté cet album, ben, c tellement bon et fort qu'il vous faut une dose bien forte pour rivaliser!!
Le pasto était un génie a tout point de vue.
Mehdi